Début Décembre, j’ai vu un message dans les discussions Discord de l’association BrickOuest qu’une exposition Lego au musée de la guerre aux Invalide était en cours jusqu’à ??? . Vu que je devais déjà noter d’aller à Paris pour
1) avoir des conseils et faire des achats au vieux campeur pour ma randonnée avec des rappel à faire en Sardaigne,
2) voir Johann, un ami de l’époque où j’habitais à Paris,
3) voir ma tante et ma famille, et pourquoi pas passer dans un Lego Store prendre quelques boites de pièce du mur de briques et de Figurine du BAM.
J’ai profité de l’occasion pour prendre mi-décembre des billets de train, et me voila en route vendredi après le travail, direction Montparnasse puis chez Johann où je vais dormir les 2 nuits. Cela faisait longtemps que l’on ne c’étais pas vu, on a plein de choses à se raconté, et un week-end à (re-) organiser avec quelques moments et sortie ensemble.
Samedi matin, je pars de chez lui vers 9h30, direction le centre commercial So-Ouest à Levallois Perret, pour aller dans un Lego Store. Pour ne par faire que des boutiques, j’ai repéré 2/3 truc à voir dans le coin, histoire de profiter du soleil (et du froid) présent ce matin. Je passe donc par des rue typiquement Parisienne, qui me laissait assez indifférent lorsque j’habitais en région parisienne. Je me suis intéressé à ces immeubles haussmannien, principalement caractérisé par des façades en pierre de taille, composée de nombreuses modénatures et éléments de décors, par les Lego !!! en construisant les bâtiments de la gamme modular, j’ai appris a les apprécier, en lire les détail et toute la richesse de leurs ‘sculpture’ et de leur fantaisie avec les toits aux formes multiple, l’intégration de briques ou de relief. Bref, une balade dans le 17éme arrondissement entre Pereire, le parc Monceau (car je ne suis pas parti du bon côté au départ), le Bd Malesherbes, les rails de la Petite Ceinture… Ensuite je suis passé vers la ‘Tower Flower’, que j’avais sur les cartes avant de partir. Rien d’extra surtout en cette saison, mais l’idée est sympa. Après le centre commercial, retour pour reprendre le métro par l’église Sainte-Odile, qui m’avais toujours intrigué en passant pas loin de ce haut clocher.
Arrêt donc au Lego Store de So Ouest, pour aller essayer d’voir les nouvelle minifigurine (en particulier celle du loup déjà rare), celle en construction libre, et prendre quelques pièces dans le mur de brique. Je n’en ai rempli que 2, (on paye à la boite), mais j’ai passé plus d’une heure pour les optimiser en empilant les briques pour qu’il n’y ais aucuns espace vide. Même si le choix de pièce est assez (très très très) limité, c’est le meilleur prix que l’on peux avoir pour les petite pièces jusqu’à 1×4 ou 2×2, et il y en avais plusieurs bien utile pour faire des bâtiment justement, ou des reliefs dans les sol ou les constructions.
Petit repas Kebab rapide au chaud, puis direction le quartier Latin pour aller Au Vieux Campeur. Je profite d’être là pour regarder les vestes de randonnée (car la mienne à plus de 20 ans et même si je ne l’utilise que lors d’aventure, elle n’est plus très étanche, mais elle fera bien encore une sortie raquette cet hivers et le trek de mai). Mais ce sera pour plus tard…
Je regarde aussi si je trouve un livre sur l’expédition que j’ai prévu en mai en Sardaigne : Selvaggio Blu. Mais il n’est plus en stock. Pas grave, déjà il était en italien, et ensuite, j’ai déjà trouvé tellement d’information sur internet, y compris des cartes et des récits de voyage : Une description par Pascal Sombardier qui l’a fait plusieurs fois, le récit d’une personne lors de sa 1er tentative en 2009, ; la même personne qui l’a refait en 2011 ; des cartes et un circuit plus long (12 jours) qui passe aussi par l’intérieur, qui a ma préférence, par Simon Dubuis :
Par contre j’ai besoins de conseil pour cette aventure, d’où ma venue : il y a plusieurs descentes en rappel à faire durant ce trek, jusqu’à 40m. Cela ne me gêne pas, j’en fait parfois en escalade, et c’est aussi ce qui fait le coté sauvage, isolé et aventure de ce trek dont un copain pompier m’a parlé il y a 7 ou 8 ans et qui trotte dans ma tête depuis (Merci Glenn !). Par contre, ce circuit nécessite d’avoir avec soi une autonomie en eaux de plusieurs jours, les ravitaillements étant aléatoire (goute à goute des stalactites des grottes dans un récipient) donc pas moins de 5 ou 6l :kg d’eau au début, bien sûr aussi 4 ou 5 jours de repas (ca j’ai déjà fait), les traditionnel tente (ou trap ?) et autres matériel pour dormir et manger (ca je commence à être rodé), mais en plus ce matériel de rappel que je dois porter en plus puisque je serais seul. Et un calcul rapide avec ce que j’ai et ce que je connais amène à 5 ou 6kg avec les 80m de corde et le reste. D’où l’idée de voir ce qu’ils me proposent d’autre, sachant que j’ai déjà fait pas mal de recherche avec des cordes plus légère, une corde de descente et une pour récupérer la ligne… En plus il me faut un nouveau baudrier, j’ai repris l’escalade en septembre à Concarneau mais mon baudrier date de 2001 ou 2002 quand j’en faisait à Anthony.
Je prend donc
En attendant qu’un vendeur soit disponible au rayon corde, l’un deux semblent bien calé en aventure extérieur, il montre à quelqu’un un nœud qui permet de faire une pédale réglable. Je profite de la discussion sur le sujet qui m’intéresse. Une fois libre (il y a beaucoup de monde, on est samedi !) je lui expose mon problème. Il adhère tout de suite au ‘défit’ de trouver une solution, et me propose 3 options, exposant les avantages et caractéristique de chacune, niveaux prix, poids, réutilisation en escalade ou autre, car l’idée n’est pas non plus de prendre un truc qui ne me servira qu’une fois (et vieillira forcément)
Et puis tout d’un coup, il pense à un petit accessoire particulier, l’Escaper : un système de rappel récupérable permettant de descendre sur une seule corde et de la rappeler, entièrement en textile donc léger. Il me fait une démonstration, effectivement ce n’est pas commun comme système, mais cela me plait bien, car une corde en simple suffis. Je n’utiliserait pas mon alpin’up mais un simple reverso (car il faudrait une corde trop grosse), et un maîchard en sécurité en plus. Le système permet de gagner plus d’1,5Kg, mais il faut avoir confiance, en même temps c’est le principe de toutes les épissures que l’on fait en voile, cela ce serre par la tension sur la corde….
Pour me liasseer le temps de réfléchir, je vais essayer des baudriers, j’en trouve un bien pour l’escalade, et un super light pour la descente en rappel de la randonné. mon choix est fait, je retrouve le vendeur et on choisit une corde adapter, on vérifie les caractéristique de diamètre de corde pour un rappel, et l’affaire est dans le sac (après un passage en caisse avec un 15% de réduction grâce à ma carte de licence FFME)
Ensuite, je voulais redéposer mes affaires à l’appartement de Johann, mais je n’ai plus le temps, on dois se retrouver au Petit Palais pour l’exposition Bruno Liljefors, La Suède sauvage, dont j’ai pris des place pour 17h15 (hé oui, maintenant on réserve l’horaire de son musée à Paris !). Johann m’avais proposer cette expo sur un peintre naturaliste suédois du début du siècle, j’avais été voir de quoi il s’agissait :
Ca m’a plutôt plu, et c’était aussi l’occasion de faire quelque chose ensemble ! J’ai effectivement bien aimer les sujets, même s’il y met toute la ‘cruauté’ de la chasse entre les animaux, et le réalisme de la peinture, en particulier les branchages ou les pellages des animaux. J’aimais bien aussi le focus bien net qu’il fait sur une zone, et le coté ‘flou’ photographique qu’il applique (c’était détaillé sur un des texte explicatif). Dommage que c’était un peu court comme exposition, surtout à ce prix !
Juste après, je laisse Johann pour traverser la seine avec une jolie vue sur la Tour Eiffel, afin de prendre le RER C qui m’amène directement chez ma tante à Issy les Moulineaux. J’y retrouve ma tante et mon Oncle, que je n’avais pas vu depuis bien longtemps, ainsi que mes deux cousines et leurs conjoints. J’ai revu Agnès il y a quelques semaine à Concarneau alors que je ne l’avais pas vu non plus depuis longtemps, et c’était bien agréable de se retrouver tous ensemble (ca a été compliqué car j’ai changer 2 fois mes plans de week-end pour être là en même temps qu’elles). Repas comme autrefois, avec quelques années en plus : La sœur de mon père est de la même génération et l’âge les rattrapent. C’était un bon moment ensemble, avec un retour par le Périf’ épique à 5 dans la voiture. Forcément, j’ai oublié de prendre des photos, trop occupé par la dégustation des coquilles St Jacques, du sanglier et de la galette, accompagner de bon vin, dont un que j’avais ramené d’un achat lorsque j’avais fait ma saison à St Cyr Lecques, qui a bien vieillis !
Dimanche matn, nouveaux réveil sans Johann, cette fois direction le musée de la guerre aux Invalide, pour voir l’expo Lego. Je fait comme hier un détour pour profiter des rue Parisienne.
Belle exposition que je recompte dans un prochain article… avec la visite d’une partie du musée dans mâtiné, en particulier les bas relief impressionnant. Pui je rejoins Johann au bassin de la Villette, pour un restaurant Japonais différents des habituels suchi-brochette, et un super gâteau coulant au chocolat en dessert.
Nous remontons ensuite le canal jusqu’à la Villette pour une belle balade. Je trouve par hasard une boutique avec des jeux, donc Five trabe, un super jeux qui est en promo (il a plus de 10 ans, mais je ne l’avais jamais acheter car trop cher car il y a beaucoup de matériel en bois). Je ne venais jamais ici quand j’étais à Paris, ce lieux me rappel plus un voyage scolaire que j’avais fait en 3ème en classe photo.
Retour à Pied également en passant par le 104, à coté des voies ferrés des gares de l’Est, une ancienne usine transformée en forum culturel avant-gardiste, avec cours de danse, concerts et expositions. J’aime bien ce lieux ou chacun peu trouver un endroit (l’espace est rare à Paris) pour s’entrainer à des expressions scénique.
Retour chez Johann pour récupérer mes affaires, et déjà le départ après un petit thé. Je dois récupère une commande à la Fnac de Montparnasse, et déjà le retour dans le train. j’arriverais à Quimper à minuit avec la gel, pour vite fait défaire mon sac avant de reprendre le travail lundi.