On a la journée complète pour des visites, donc on en profite pour faire la partie Ouest et Volcan. On commence par les Salines, des bassins de récolte de sel, avec l’originalité qu’il dont un peu en étages, avec l’eau qui passe de bassin en bassin, et l’eau était remonté avec des moulin à vent qui sont toujours présent. Malheureusement on ne peut pas aller à leur pied, mais c’est bien sympathique d’avoir la vision au niveau des bassin, et encore plus quand on montre sur le mirador qui surplombe plus le site.



Juste un peu plus au nord, on s’arrête sur la plage de Playa del Janubio, qui correspond à la fin d’une coulée de lave bien marqué de la route. Cela forme un trait de côte très découpée. En s’arrêtant, on voie partout dans les étendu de roche volcanique des incrustations d’Olivine, certaine de belle taille. Quand je rejoins le groupe sur la plage noir à coté, tout le monde est baissé sur la plage en train de chercher des petites pierres, qui ‘pullule’ ici, en faisant un effet très joli sur le gravier noir. Quand je pense que l’on en a cherché sans succès au nord, là où on ou a dit qu’il y en avait, alors qu’ici il suffit de ce baissé pour en ramasser. J’en ramené quelques échantillons, je ferais un petit jardin miniature avec un mini cactus.







Nous remontons ensuite vers la baie de El Golfo, avec son Lac vert : un étang séparé de la mer par une bande de roche, tout cela entouré de falaise découpé, noie et rouge, digne d’un décor de science-fiction apocalyptique. J’adore les formes des roches et des falaises torturé, ces roches qui ressemblent une pâte en mouvement figé sur place. C’est sublime.












Nous mangeons ensuite dans un bon restaurant (le ‘Casa Rafa Restaurante De Mar’ que j’avais réservé, puisque nous somme tout le groupe soit 22 personnes et un bébé, dont 2 végétariens). Au menus, Patelle au beurre d’ails, duo de poisson / beignet de calamar (les meilleurs que j’ai jamais mangé). Le dessert, comme dans beaucoup de pays, n’avais rie d’extra (je ne m’en rappel même plus). Le vin blanc sec mais fruité (local) aussi était délicieux.


Traversons ensuite la réserve du parc volcanique de Timanfaya par la seule route, avec un arrêt aux milieux pour une visite : démonstration de geysers en gérant de l’eau dans des trous (qui semble creusé et maçonné avec un tube PVC !), d’une branche qui s’enflamme quand on le met dans un puis dans le sol bien chaud. Ensuite nous avons une visite en Bus, à travers la zone la plus proche des dernières éruptions (qui date quand même de 1824, loin de celle vu aux Açores qui entoure un ancien phare encore debout l’éloignant de 3km de la mer !). C’est un peu dommage qu’il n’y ait pas eux des arrêts pour mieux profiter, car on passe par des paysages minéral très varier et impressionnant. Dommage c’est un peu trop touristique, j’aurais préféré passer une journée à pied dans ces paysages, mais c’est une réserve !















Enfin, retour par l’autre coté de la réserve, au niveaux des vignes. Cela m’a rappelé le livre d’un des voyages de la Fleur de Lampaul sur cet ile qui parlais de ces constructions de pierre pour capter l’eau.

