Petite courses pour manger le midi une salade grec, dans le studio de l’hôtel, car je ne vasi pas manger au restaurant tous les midi. Puis c’est le départ en groupe à 4 voitures pour la visite de la Fondation César Manrique. Voici la présentation que l’on peut voir sur le site internet, qui décrit bien l’ambiance :
Maison du Volcan.
Fondation César Manrique. Tahíche
La Fondation César Manrique est installée dans la singulière et spectaculaire maison que César Manrique projeta à son retour de New York, lorsqu’il décida de s’installer de façon définitive à Lanzarote. Habitée par l’artiste pendant 20 ans, de 1968 à 1988, elle constitue la maison dans laquelle il vécut le plus longtemps. Elle fut construite au milieu d’une coulée de lave provoquée par les grandes éruptions que connut l’île entre 1730 et 1736. Cette construction, qui s’étend sur 3 000 mètres carrés dans une propriété de 3 ha, se caractérise par le dialogue entre le bâtiment et la nature grâce à la fusion entre le volcan et l’architecture dans une relation de respect mutuel.
L’étage supérieur s’inspire de l’architecture traditionnelle de Lanzarote à laquelle l’artiste a incorporé des éléments fonctionnels de conception moderne (grandes fenêtres, espaces généreux, éclairage zénithal, etc.).
Au niveau inférieur, Manrique a profité de l’existence de cinq bulles volcaniques naturelles reliées à travers des tunnels creusés dans la lave. Elles constituent un lieu habitable qui est aussi surprenant que singulier en tant qu’intervention sur l’espace naturel. On peut également visiter la piscine, la petite piste de danse, le four, le barbecue… tout cela au milieu d’une abondante végétation et d’un basalte omniprésent. Le dernier espace, en se dirigeant vers la sortie, est l’ancien studio du peintre qui a été reconverti en salle d’exposition de sa peinture.
Les jardins qui entourent la demeure présentent des contrastes fascinants entre l’inorganique, la noirceur de la lave, la cendre volcanique et les « socos » (murs coupe-vent) garnis d’arbres fruitiers et d’autres plantes.
La visite de cette maison, construite sur une mer de lave, est une expérience exceptionnelle.
Site web Fondation César Manrique






























J’ai adoré cette architecture minéral-végétale, c’est vraiment un mélange que j’aime, et j’ai d’ailleurs souvent eux envie de faire des choses comme ça chez moi. Je crois même que j’ai construit une maison un peu grande pour moi pour avoir la place de mettre des plantes et des structure comme ça. Je pense avoir déjà vu des images de cette maison, car ces murs blancs avec la pierre noir et les volcan derrière, avec un mobilier très typé année 70, ça me parle, probablement un livre chez mes parents.











Retour par la plage de surf, celle exposé au vent dominant de nord Ouest, mais rien de très particulier, ce n’est pas la marée où il y a des vagues. On a chercher des petites pierre d’Olivina, une pierre semi-précieuse (Silicate de fer magnésium), principalement présente sur l’île de Lanzarote. mais pas de beau spécimen.



Puis stop dans la ville de Treguise, l’ancienne capitale, mais visiblement après 18h c’est désert !






