Après cette journée d’anniversaire, j’ai prévu le tour de la presque île Testa, car j’ai juste vu les plages de l’entrée le lundi et un petit bout avec le groupe. Donc cette fois je vais vers le phare par la route bordé d’un petit village, coté Est. Il y a quelques établissements touristiques luxueux.
Les roches ici aussi sont incroyable, avec des lignes de minéraux différentes par endroit qui formes des lignes de couleurs variée. Comme souvent, les sentiers partent dans tous les sens et disparaisse parfois.
Je monte finalement vers le sémaphore en escaladant à moitié des roches. On se croirais presque à Penfret avec cette forme si particulière de ces établissements, la petite terrasse circulaire autour…
Je croise même une tortue terrestre, les autres m’avais dit qu’il y en avait. Et j’en verrais une autre encore après la baignade.
J’arrive finalement à la Plage vu mardi, où sont quelques autres du groupes, mais il parte peux de temps après mon arrivé, pour ne par rater un apéro. Moi je reste encore une petite heure, on a le temps, j’ai pris mon matériel de snorkeling dont ma combinaison, donc j’en profite. J’ai bien fait, au cours de mes apnées entre la Cala delà Luna et celle d’à coté (Cala de Mezu), je passe dans des petites grottes, croises plein de poissons, et me retrouve nez à nez avec un petit mérou dans une grotte, je ne saurais dire des 2 qui est le plus surpris de croiser l’autre ! Avec la combinaison (celle de surf 2/3mm qui me sert en nage en eau vive), je peux rester 45 minutes dans l’eau sans avoir froid, c’est super !
L’après midi est tranquille, entre une sieste et la mise en lignes des premiers jours de cette semaine à l’hôtel. Pour ne pas finir la journée ici, quand le soleil se fait moins fort, je pars sur la côte au sud de l’hôtel, Max ou Nicolas l’ont fait et c’est joli. Je confirme, c’est rapidement sauvage, même s’il y a une propriété plantée devant le trait de côte limite privée. Après la dernière plage, on passe un petit escalier au-dessus d’une clôture, et là on se retrouve en pleine nature, mais je n’ai pas été beaucoup plus loin.
Petit bain en évitant les méduses toujours présentes (jusqu’à la fin du séjour, j’ai souvenir de barrières de méduse poussées par le vent sur les plages autours de Bonifacio lors de mes croisières), puis retour.
Courte soirée dansante, avec un chouette madison, une danse que j’avais apprise lorsque j’étais à Paris, que l’on faisait lors des Marches des Fierté avec le MAG Jeune Gai et Lesbienne, et dans les soirées dans la discothèque Le Tango. J’ai de bon reste, après ce n’est pas très compliquer, et avec la pratique régulière de la danse bretonne, les autres danses sont plus vite apprise, le rythme et la synchronisation sont plus naturel (alors que c’était s dur au début, là j’apprends des danses en 2 ou 3 minutes parfois) ! Bon, je reste toujours assez ‘raide’. Je ne me suis pas non plus éternisé, c’est fatiguant ces journées !