Ce matin le départ pour les gorges de Tibério est à 8h30, enfin un réveil à une heure correcte ! Arrivé en haut du chemin, je descend à pieds les 2km plutôt qu’en minibus, et c’est parti pour cette petite balade. Une grosse partie des collègues a fait l’activité hier, ils ont été pour la plupart déçus car il s’attendait à une activité rafting, mais vu la balade de lundi, je sais bien que c’est le coté paysage , faune est flore que je suis venu voir. Après quelques explication sur le parc de Modanie, les gorges, et la vie naturel sur le site, c’est la petite descente dans les cailloux avant d’arrivé à l’entrée des gorges, avec un rocher en forme de monstre très effrayant !
Ensuite nous embarquons dans des petit raft pour le passage des gorges, en mode petit train de 2 raft propulsé par 1 pagaie. C’est vraiment en mode balade, mais cela permet de profiter du paysage. Et il y a de quoi s’en mettre plein les yeux. Le site est classé UNESCO, et ce n’est pas étonnant. Entre les niches de tourterelles, les anguilles dans l’eau, les forme et les couleurs des roches, le passages étroit (et haut, 50m en dessus, 10m sous la surface), c’est magnifique. Il y a même des fossiles sur les parois, lisse comme une peau de bébé. En hivers, il parait qu’il y a parfois 4m d’eau en plus, ce doit être grandiose d’y faire un sport d’eau vive !
A la sortie, nous continuons à pied en longeant la rivière, comme je l’ai fait lundi, et nous arrivons dans une patrie un peu plus profonde. Un des coté est bordé une petite falaise avec des promontoires à 50cm, 1m, jusqu’à 2,50m, d’où l’ont peut sauter. Il y a même des trous dans la roche comme des prises d’escalade ! Laurent à pensé à prendre son masque, donc je fais aussi quelques immersion entourés des anguilles, c’est étonnant.
C’est ensuite le chemin du retour. Ceux qui sont venu hier m’avais dit que l’on pouvais demander à repasser les gorges à la nage plutôt qu’en bateau gonflable, ce que je fais. Et c’est là encore une belle espérance, quelques immersions en apnée dans la partie étroite des gorges. Passé quelques mettre c’est bien vert et foncé, entouré d’Anguilles. Le retours vers la surface, avec la diffraction de l’eau, donne un effet de tunnel qui se referme jusqu’à la surface de l’eau où l’on contemple la fine bande de ciel entre les falaises lisser par les éléments. C’est assez magique, et cela contraste avec la nage en eaux vive que j’ai fait dans les gorges de la Durance, du Guil ou de Ubaye il y a 15 jours, en combinaison et avec un débit fou ! C’était une matinée encore bien occupé. Je retrouve David, Suzanne, Nicolas et Cécile à l’Hotel vers 12h45, on vas enfin manger dans le restaurant du bas. Moins de choix au buffet, mais quel cadre, sous les arbres et une vielle tours en pierre, vu mer…
Sieste bien mérité, mais c’est bientôt la fin du séjour, et je me réveil après 25 minutes. Le temps depuis hier soir a bien changé, la mer est très agité, la crique puis la plage sont maintenant fermé car trop dangereuse avec la houle qui frappe la falaise et remonte de plusieurs mètre sur la plage. Comme j’avais vu une randonnée qui partait dans une forêt avec un signe d’arbre, style arboretum, je chausse mes chaussures de randonnée, mon bâton (j’ai cassé le 2ème lundi), et c’est parti ! La première partie n’est pas terrible, il faut monter jusqu’à l’entrée de la forêt, et même si certains plans indiquent des sentiers, tout est bouché par la végétation, ou alors c’est vraiment limite. C’est un peut dommage dans l’ensemble, il n’y a pas beaucoup de sentier piétons, même de trottoirs, ici. En même temps, sur presque 1h sur cette route SP25, j’ai croisé 10 voitures tout au plus !
Arrivé en haut, je comprend en fait que c’est une partie du parc naturel intégral de Madonie. Au début il y a une partie base de loisirs de plein aire, avec des tables de pique-nique et des barbecues en libre service comme en Australie, des parcours d’accrobranches, un mur d’escalade. Ça a l’aire assez neuf, mais comme abandonnée. Peut être es-ce seulement l’été ou pendant les vacances ? La route continue ensuite, après un poste de garde forestier avec un camion feu de forêt (vert, pas rouge comme les notre !), c’est une partie plus sauvage, avec quelques point de vue sur les montagnes et la mer. Le retour est beaucoup plus rapide, ça descend, et j’ai repéré quelques passage pour couper, ou des chemins qui longue la route.
On profite des derniers moments, au calme, personne n’a bougé vers la soirée, nous somme resté profiter du bar, de la musique et du cadre. Demain le petit déjeuner est à 5h, et ce sera le retour. On a même eux de la pluie sur la route de retour vers l’aéroport de Palerme. Moi qui craignais un peu de m’ennuyer sur ce voyage que je n’ai pas organiser moi même comme les précédent, ça n’a pas du tout été le cas. Je n’ai pas arrêter de bouger, et malgré le buffet illimité où l’on mange toujours trop, j’ai à peine repris 500g alors que je suis déjà à mon poids bas (69kg).
Le prochain vrai week-end où je bouge est en septembre, pour la plongée à Ouessant, et le prochain gros voyage en novembre pour la croisière plongée en Égypte. D’ici là, c’est l’été à Concarneau, c’est assez plaisant aussi, puisque les gens y viennent en vacances !